Anatomie du Labo part d’une idée originale : interroger les films de la compétition Labo du Festival du court métrage de Clermont-Ferrand en donnant un champ d’expression à des étudiants et des artistes confirmés. Sauve qui peut le court métrage propose de visionner les films sélectionnés du Labo et d’analyser les films avec des étudiants pour en faire surgir une empreinte, une trace, un symbole, un signe à travers un travail plastique.