Il n’est pas possible de raconter une histoire du court métrage parce qu’il n’existe pas une histoire mais plusieurs. Voici une version qui aborde cette histoire à travers les deux grands genres du cinéma : la fiction et le documentaire. Le court métrage d’animation ayant fait l’objet d’une formation spécifique l’an dernier, celui-ci sera traité par le biais de trois cinéastes européens d’animation. En conclusion, nous verrons l’importance du travail exécuté par le festival du court métrage de Clermont-Ferrand.
1 – Tout a commencé par le court
Qu’est-ce qu’un court métrage ?
2 – Les voies possibles de la narration cinématographique.
. L’arroseur arrosé
. Le langage moderne du cinéma
. Méliès vs Porter
. David Wark Griffith
3 – Une autre voie pour le cinématographe
. Le refus d’une narration normalisée : l’expérimental.
4 – Le documentaire, des Frères Lumière au documentaire animé : une histoire de styles et de mentalités
. Qu’est-ce qu’un documentaire ?
. Quand le terme documentaire apparaît-il ?
. Turbulences des années 50 : le Groupe des Trente, Free Cinema…
. La subjectivité revendiquée : changement de mentalités
5 – Le court métrage image par image
. Le court métrage d’animation européen à travers trois grands noms : le Suisse Georges Schwizgebel, l’Estonien Priit Parn et la Française Florence Miailhe
ou
. Les cinéastes européennes d’animation d’aujourd’hui : la Française Florence Miailhe, la Britannique Joanna Quinn, la Portugaise Regina Pessoa, la Hongroise Reka Bucsi, la Roumaine Anca Damian…
6 – Défense et promotion du court métrage
. Un outil performant : le festival du court métrage de Clermont-Ferrand